Quand l’enfant doit être sevré, la mère aussi n’est pas sans tristesse en songeant qu’elle et son enfant seront de plus en plus séparés, et que l’enfant, d’abord sous son coeur, puis bercé sur son sein, ne sera plus jamais si près d’elle. Ils subissent donc ensemble ce bref chagrin. Heureuse celle qui a gardé l’enfant ainsi auprès d’elle, et n’a pas eu d’autre raison de chagrin.