Nous apprenons bien sûr pendant la veille, mais l’activité nocturne de notre cerveau démultiplie notre potentiel.
La quantité d’apprentissage varie directement en fonction de la durée de sommeil, et surtout de sa profondeur.
Chaque nuit, nos idées flottantes de la journée se rejouent des centaines de fois, à un rythme accéléré, ce qui multiplie les chances que notre cortex y découvre des règles qui fassent sens.