Le fasciste d'aujourd'hui ne va pas regarder le monde en disant que c'est lui qui a raison, mais qu'il est dans sa bulle et déteste les autres bulles. Le fascisme est devenu d'une subjectivité farouche : ce n'est plus une idéologie avec une vision, des solutions, c'est un comportement : ils ne réfléchissent pas, ils réagissent.
Dans le journal "Le Soir" du 21 janvier 2022.