Citation de EvlyneLeraut
« Derniers Messages de Stéphan Zweig »
Edition Bartillat Omnia poche
Stéphan Zweig, écrivain de renommée internationale, en 1938, fait acte de conférences humanistes et engagées, dans une éthique pacifiste. Exutoire, paroles inscrites dans le marbre de l’Histoire mondiale, sont la symbiose du Vivre-Ensemble. Stéphan Zweig dans « Ses Derniers messages » condensé de ses conférences fraternelles, pose avec force et vigueur les valeurs républicaines : Liberté, égalité, fraternité ».
Stéphan Zweig persécuté par la police le 18 février 1934 partira pour Londres. Il savait l’Autriche perdue et n’avait pas perçu encore « L’étendue de la perte subie. »
« L’Histoire d’hier décrivait notre rechute éternelle, celle de demain décrira notre montée éternelle »
La pensée européenne constante dans « Ses Derniers messages » clairvoyante est matière à rendre l’Europe valeureuse et altruiste. Mais Stéphan Zweig savait l’heure grave.
Page 33 : « Il faut se rappeler que dans tous les pays, les années de guerre ont habitué les hommes à une haute et violente tension des sentiments » .Le premier message « Histoire de demain »inaugure l’Utopie possible. Le rapport à Tolstoï écrivain et franc-maçon d’origine dans « Guerre et paix » calque la vérité sur les faits durant la seconde guerre mondiale.
Tolstoï dit : « Mais les hommes qui firent tout cela ne voyaient à cette époque rien de criminel ». Tous les messages variés sont la cartographie des emblèmes pour un monde meilleur. Plume de lumière, bienfaiteur, auteur à la philosophie humaniste, Zweig dessine le drapeau des possibles. Il transforme la parabole de La Tour de Babel. Il décortique les nœuds maléfiques du genre humain.
Page 63 : « Et d’un seul coup le miracle est réalisé : Les savants de toute l’Europe séparés par la diversité de leurs langues nationales encore informes, peuvent de nouveau correspondre entre –eux s’écrire et se comprendre fraternellement » « Les frontières entre les pays sont franchies comme un coup d’aile grâce à la langue ».
Page 87 : « Accueillir, adopter, lier au moyen de la conciliation spirituelle et résoudre les dissonances en harmonie »
Stéphan Zweig est dans la cour des Grands. Ses messages, si porteurs de magnanimité, et de confiance symbolisent une Europe de tous les possibles. Il œuvre pour un monde juste. Il écrit avec foi en la vitalité des ouvertures inaugurales. Ce livre transforme la sphère politique en une aimable et redevable au prochain. Ce brillant et si actuel ouvrage édité en format poche Omnia devrait être lu de tous. Il n’est pas moralisateur, n’impose rien. Sa force est dans le langage flottant comme le drapeau Européen. Un hymne d’espoir au fronton de la République, qui s’élargie en une Europe une et indivisible. Le citoyen communique avec son frère humain. Dans l’apologie du Vivre-ensemble où les contraires s’assemblent. Evlyne Léraut.
Edition Bartillat Omnia poche
Stéphan Zweig, écrivain de renommée internationale, en 1938, fait acte de conférences humanistes et engagées, dans une éthique pacifiste. Exutoire, paroles inscrites dans le marbre de l’Histoire mondiale, sont la symbiose du Vivre-Ensemble. Stéphan Zweig dans « Ses Derniers messages » condensé de ses conférences fraternelles, pose avec force et vigueur les valeurs républicaines : Liberté, égalité, fraternité ».
Stéphan Zweig persécuté par la police le 18 février 1934 partira pour Londres. Il savait l’Autriche perdue et n’avait pas perçu encore « L’étendue de la perte subie. »
« L’Histoire d’hier décrivait notre rechute éternelle, celle de demain décrira notre montée éternelle »
La pensée européenne constante dans « Ses Derniers messages » clairvoyante est matière à rendre l’Europe valeureuse et altruiste. Mais Stéphan Zweig savait l’heure grave.
Page 33 : « Il faut se rappeler que dans tous les pays, les années de guerre ont habitué les hommes à une haute et violente tension des sentiments » .Le premier message « Histoire de demain »inaugure l’Utopie possible. Le rapport à Tolstoï écrivain et franc-maçon d’origine dans « Guerre et paix » calque la vérité sur les faits durant la seconde guerre mondiale.
Tolstoï dit : « Mais les hommes qui firent tout cela ne voyaient à cette époque rien de criminel ». Tous les messages variés sont la cartographie des emblèmes pour un monde meilleur. Plume de lumière, bienfaiteur, auteur à la philosophie humaniste, Zweig dessine le drapeau des possibles. Il transforme la parabole de La Tour de Babel. Il décortique les nœuds maléfiques du genre humain.
Page 63 : « Et d’un seul coup le miracle est réalisé : Les savants de toute l’Europe séparés par la diversité de leurs langues nationales encore informes, peuvent de nouveau correspondre entre –eux s’écrire et se comprendre fraternellement » « Les frontières entre les pays sont franchies comme un coup d’aile grâce à la langue ».
Page 87 : « Accueillir, adopter, lier au moyen de la conciliation spirituelle et résoudre les dissonances en harmonie »
Stéphan Zweig est dans la cour des Grands. Ses messages, si porteurs de magnanimité, et de confiance symbolisent une Europe de tous les possibles. Il œuvre pour un monde juste. Il écrit avec foi en la vitalité des ouvertures inaugurales. Ce livre transforme la sphère politique en une aimable et redevable au prochain. Ce brillant et si actuel ouvrage édité en format poche Omnia devrait être lu de tous. Il n’est pas moralisateur, n’impose rien. Sa force est dans le langage flottant comme le drapeau Européen. Un hymne d’espoir au fronton de la République, qui s’élargie en une Europe une et indivisible. Le citoyen communique avec son frère humain. Dans l’apologie du Vivre-ensemble où les contraires s’assemblent. Evlyne Léraut.
