C'est à ce moment que j'ai compris que, sous ses atours de redoutable courtisane, Sybille est une dame sympathique et intelligente qui a su tracer une limite entre la politique, qu'elle appelle "son château", et ses sentiments, qu'elle nomme "son jardin". J'ai réalisé, ce soir-là, que ma place est entre ses arbustes et ses fleurs.