« Le gosse était mort. Le gosse n’était pas malade, il n’était pas endormi. Le gosse n’allait plus jamais se lever le matin ou attraper la chiasse en mangeant trop de pommes ou cueillir de la vigne vierge. […] Le gosse était déconnecté de ses baskets sans aucun espoir de réconciliation. Il était mort. » (p. 504)