" Mais la Grande Traque me fait plutôt penser au Poker. Quatre cartes sur la table et une carte cachée. [...] Les journalistes c'est mon dix de pique [...] les pauvres, les gens comme moi, c'est le valet de pique. La reine, la Dame, c'est vous. Je suis le roi, l'homme noir à l'épée. Voilà mes cartes visibles : les médias, les réactions potentiellement dangereuses de la foule, vous, moi. Telles quelles, elles n'ont aucune valeur. Sans l'as de pique, c'est zéro. Avec l'as, c'est la combinaison imbattable."