« - Je l'aime, rétorquai-je. Pour lui, pas parce qu'il es beau ou riche. Je préférerais d'ailleurs qu'il ne soit ni l'un ni l'autre. Cela comblerai un peu le gouffre qui nous sépare, même si ça n'empêcherait pas qu'il soit encore l'être le plus aimant, le plus généreux, le plus brillant et le plus décent qu'il m'ai été donné de rencontrer. Alors oui, je l'aime. Évidemment que je l'aime. C'est si difficile à admettre ? »