Il m'embrassa avec colere, avec hargne, sa deuxieme main se plaquant sur ma nuque, rendant toute evasion impossible.
Je me debatis, il ne sembla meme pas s'en apercevoir.
Sa bouche etait douce, en depit de sa rage, elle se moulait sur la mienne d'une facon et avec une tiedeur qui ne m'etaient pas familieres.
J'attrapai son visage, essayai de le repousser, en vain. (...)
- Tu en as termine? Demandai-je d'une voix plate.
- Oui, souffla-t-il en fermant les paupieres, une ombre de sourire sur le visage. Alors, je lui assenai un coup de poing en pleine bouche en y mettant tout mon coeur.