Il n'y a rien d'aussi beau que les premières minutes de solitude avec celui qui pourrait nous aimer, avec celui que l'on pourrait aimer. Il n'y a rien d'aussi silencieux que ces minutes, rien d'aussi saturé de suave attente. C'est pour ces quelques minutes qu'on aime et non pour toutes celles qui suivront (p. 224).