Tu savais que dans la langue esquimau, il y a trente-deux mots pour le verbe aimer, tandis que nous n'avons qu'un seul. Nous sommes tellement limités qu'il faut utiliser le même mot pour le fait d'aimer Rosaleen et le Coca avec des cacahuètes. N'est-ce pas dommage que nous n'ayons pas davantage de moyen de l'exprimer ?