Citations de Suzy K. Quinn (36)
- Oh, tu me connais, a -t-elle répondu d'un ton détaché. Moi et les horaires, ça fait deux.
- D'accord, mais pourquoi elle est toujours en retard et jamais en avance ?
Ce n'est pas vraiment qu'il me manque. Mais... ça faisait tellement longtemps qu'on était ensemble.
Ça me fait bizarre de ne plus l'avoir près de moi. Je me sens comme amputée d'une jambe. Sauf que c'était une jambe qui me filait tout le temps des coups de pied.
Tu sais ce que dit mon prof d'arts martiaux ? Une ceinture noire, c'est une ceinture blanche qui n'a jamais abandonné.
Alex et Zack ont suivi leur scolarité au collège d'Eton, où on leur a enseigné la confiance, la persévérance, la tolérance et l'intégrité.
Nous, les soeurs Duffy, on était à l'école primaire d'Oakley, où on nous a appris à tolérer les chewing-gums collés sous les tables et la purée de pommes de terre en flocons.
Samedi 8 octobre
(...)
Déjeuner : une portion de soupe Slim Girl aux épinards et aux choux ( 123 calories, un goût d'herbes brûlée).
Goûter : grosse fringale de sucre, huit biscottes. Mais suffisamment de volonté pour laisser les deux dernières.
Soir : une tranche de pain grillé avec du fromage et des haricots ( merde, j'ai dépassé mon apport calorique autorisé ), la moitié d'un pot de Häagen-Dazs ( je ne voulais pas en manger autant, mais je tenais à laisser une surface lisse, et de fil en aiguille... )
21 heures
Mangé les deux dernières biscottes.
Mine de rien, le jogging, c'est violent. Alors faut y aller progressivement.
Une vedette avec autant de succès attire forcément les persiflages de la presse. C’est toujours comme ça.
Ces yeux… Ils sont aussi bleus que l’océan des Caraïbes. Je me rappelle soudain des mots de Tanya à leur sujet : « C’est comme s’ils contenaient le monde entier. »
Helen fait partie de ces femmes qui ont tout, mais ne sont jamais contentes. Elle est filiforme, elle n'a pas de problèmes de fric, elle travaille uniquement pour s'occuper. Mais à l'écouter, tout va mal. La teinte du granit de sa cuisine est "une catastrophe". Son gilet en cashemire tout neut la grossit "affreusement". Henry son mari, est en train de devenir "complétement " chauve.
(...) les garderies de Londres, c'est comme les boites de nuit : une fois que c'est plein, c'est plein, il faut attendre que quelqu'un sorte pour pouvoir entrer.
Il n’a pas eu une vie facile – on ne peut pas s’attendre à ce qu’il soit tout miel et tout fleurs. Je l’ai trouvé honnête et intelligent, et il m’a inspiré du respect. Tout le monde n’a pas le courage et l’intégrité de dire les choses telles qu’elles sont. Il m’a donné d’excellents conseils sur la façon d’utiliser mon corps, et sans prendre de gants. Il m’a simplement dit : « Tom, tu te tiens mal. Redresse-toi, tu domineras mieux ton corps. » Pour dire ça à un pauvre gus en fauteuil roulant, il faut avoir du cran.
Parfois, de savoir que la porte est fermée, ça aide. On souffre, mais au moins on sait qu'il n'y a pas de retour en arrière possible. Qu'il faut aller de l'avant.
Même ressenti que Lilitthbook.
Il y a plus de tendresse et de sensualité entre nos deux héros au début du livre. À partir du moment où ils couchent ensemble, c'est fini. La fin du roman est carrément bâclée.
Je suis étonnée que l'éditeur ne l'ai pas fait retravaillé.
Très déçue car le début était prometteur.
Les talons hauts me font des jambes incroyables. J’ai l’impression d’être quelqu’un d’autre…
Je venais tout juste de faire la paix avec mes seins qui tombent, mes fuites urinaires et mon vagin défoncé… Et maintenant c’est de derrière que vient le problème. Et je ne vous parle pas des boutons qui sont sortis sur mes bras.
J’ai appris un truc important : ne JAMAIS taper le mot « hémorroïdes » sur Google image.
Je n’imagine même plus le défier, et nous le savons tous les deux. Je suis prise dans les filets de Marc Blackwell, et je ne peux rien faire pour m’échapper.
Il m’observe avec une telle intensité que je ne peux détacher mes yeux des siens. Je vois une telle avidité en eux… mais il lutte contre son désir, se force à ralentir. C’est à ça que servent les menottes, je comprends alors. Elles l’aident à conserver le contrôle… chose dont je ne suis plus capable depuis un moment.
Je tends le cou vers lui, mais ses doigts forts viennent se plaquer sur mes côtes pour me maintenir au sol. Il manipule les menottes, et les deux anneaux de métal cliquettent l’un contre l’autre. J’avale ma salive avec anxiété.
— Je suis sûr que tu te souviens du plaisir qu’on peut prendre à être attaché.
Être égaux ne signifie pas être semblables.
Si chacun écoutait mieux son intuition, le monde nous paraîtrait moins mystérieux.
Ce qui distingue un bon acteur, c’est sa capacité à incarner n’importe quel personnage et à le faire sien.
Les enfants prennent la vie comme elle vient. On devrait suivre leur exemple et arrêter de se torturer pour des choses sur lesquelles on n’a pas de prise.