Je propose d’appeler kumizaké ceux qui fonceront avec le taxi et chargeront, sentinelles les plantons, et biffins les leurres; même s'il y a des tâches plus pénibles que d'autres, personne ne recevra un yen de plus que les camarades. Il est dons souhaitable que chacun s'emploie au mieux de lui-même.