Tanaka Ogeretsu

C'est foutu ! C'était ma seule chance de gagner contre Yû et j'ai tout fichu en l'air d'un coup. Je crains, il m'a grillé et en plus, il est dans la même classe que moi, je suis fini, j'ai envie de mourir... Je vais le tuer et après, je me tue.

Mon ange... Je l'idolâtrais et voilà... Mais c'était pas seulement mon ange, c'était celui de tout le monde, comment c'est possible ? Hein ? J'arrive pas à l'accepter, c'est trop... Qu'est-ce que je vais faire, maintenant ?

Juste moi, seulement moi. Yaguchi, le petit ange de l'école, celui que tout le monde admire, m'a insulté. Je suis le seul.

- Tu pues la bite.

Quand on les regarde, ces deux peintures semblent être les mêmes. Mais en vérité... la marque des peintures... le papier, le pinceau et l'artiste sont différents. Pourtant, n'importe qui verrait ces deux peintures penserait c'est la même. Ces différences sont pour moi tellement immenses... Elles sont même décisives...

Peu importe le genre de personne que tu es... si je te perdais... je ne pourrais jamais plus être moi-même...

Dans une boîte de nuit, c'est la lumière qui baisse et les prix qui montent.

J'aimais tellement contempler son sourire.
Il me permettait d'oublier tous mes problèmes.
Mais j'ai quasiment tout oublié de lui...Hormis son regard froid.
J'aurai tellement aimé pouvoir l'aider à redevenir le garçon qu'il était autrefois.
J'étais certain qu'il reviendrait vers moi un jour ou l'autre avec un peu de patience. Oui. Je ne faisais sans doute que d'attendre. Rien de plus.

Il me parlait de l'avenir de temps en temps. Moi, j'espérais juste qu'il me sourie à nouveau comme autrefois. Mais surtout, au fond de moi, je n'arrivais pas à oublier Mayama. Néanmoins, je l'aimais quand même.
J'aurai tant aimé...Pouvoir rester à ses côtés.
Avec lui, j'aurai sans doute réussi à oublier le passé.
J'aurai pu prendre une autre voie, un autre chemin.
Je voulais le suivre, mais nos mains se sont lâchées.
Ou plutôt, c'est moi qui ai laissé partir la sienne.
Malgré ça...Malgré les coups, même si je ne le considérais plus comme mon partenaire, j'aimais passer du temps à ses côtés. Tout simplement.
Je suis soulagé aujourd'hui...De savoir qu'il lui arrive de rire.
Oui, car moi, je ne serais plus capable de provoquer ça chez lui.

De l'homme violent, tout n'en vaut rien.

"Au risque de me répéter. Tu n'as rien à te reprocher. Tu as eu une attitude normale. Et puis, j'étais content. C'était la première fois qu'un homme me serrait dans ses bras et m'embrassait. J'en avais toujours rêvé. Donc merci de m'avoir offert ce cadeau." # Saya

Toi alors vraiment, ... Grandis un peu, ce n'est pas possible !
Rentre chez toi, vite ! Je ne veux pas que tu fasses peur aux clients.