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Un tyran qui réfléchissait, semblait-il à Vétérini, avait un boulot autrement plus difficile que les dirigeants portés au pouvoir par un système débile du type votez-pour-vos-intérêts comme la démocratie. Eux, au moins, pouvaient dire au peuple que c'était sa faute s'il les avait élus.