Courir, c'est pratiquer une certaine forme de stoïcisme. C'est enseigner à son corps et à son esprit comment rester fonctionnels lors des pires moments. Les distractions en tous genres ne permettent pas d'atteindre cet état de conscience. Il ne faut pas fuir la souffrance, il faut l'affronter, c'est un combat inexorable. La douleur n'est ni l'amie, ni l'ennemie du coureur. Elle fait partie de sa vie.