Deux mois avant sa mort, Thérèse relisait, à la demande de Mère Agnès de Jésus, quelques pages de ses souvenirs d'enfance. Les larmes aux yeux, elle s'interrompt soudain : "Ce que je relis dans ce cahier, c'est si bien mon âme ! ... Ma Mère, ces pages feront beaucoup de bien. On connaîtra mieux ensuite la douceur du bon Dieu..." C'est à cette expérience de la tendresse divine qu'est convié chacun des lecteurs de l'Histoire d'une Âme.