Les procès sont devenus rares, mais dans les très grandes occasions ils ont lieu devant les caméras et recueillent des taux d'audience proches de ceux des pornos dans lesquels des tops models en fin de carrière se font violer par des bourrins en treillis. Hyperchic et ultraviolence, le seul cocktail qui produit encore une étincelle dans le regard des masses, Antoine dixit.