Son visage s’illumine. Je le hais. Je voudrais assister à sa lente agonie dans une antichambre nue de l’Enfer. Je me pencherais au-dessus de lui pour maculer sa face d’ordure d’une boule de salive pleine de cire glaireuse, puis je l’exhorterais à crever lentement, indéfiniment, pour découvrir sur ses traits de futur cadavre l’expérience qu’il ferait de sa propre mort, et sa frayeur au seuil du grand saut. Le temps est de mon côté.