Si on exploitait le pétrole présent sous leurs pieds, ces pauvres bougres pouvaient faire leur baluchon. Ils seraient bien chanceux si on leur versait une indemnité ou si on les relogeait ailleurs. Plus probablement, ils seraient chassés par des mitraillettes et des bulldozers, avec un doigt d’honneur en guise d’adieu, et quelques heures pour paqueter leur vie entière.
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