Peu après l’accident, Maurice Herzog fonce chez Adèle, la veuve de Lachenal, récupère les fameux Carnets du vertige, entoure - avec l’aide de Lucien Devies - quelques passages compromettants, et les confie à son frère Gérard qui en publiera une version à l’image de la moustache de Momo : très bien taillée.