Qu'ils aient annoncé de très bonnes ou de très mauvaises nouvelles, les notaires, les juges, les médecins et quelques autres peuvent toujours rentrer chez eux, mettre des pantoufles, manger une cuisse de canard gardée au chaud sur un coin du poêle, faire rebondir leurs petits-enfants sur leurs genoux. Pour eux, la vie continue.