« Contempler ces stiffs autour de leurs feux, c’est regarder un cimetière. C’est à peine s’il y a de la place pour circuler entre les tombes. Pas d’épitaphes gravées dans le marbre par ici. Ces tombes sont des hommes. Les épitaphes sont ces sillons qui creusent leurs joues. Ces hommes sont des morts. Le jour, ce sont des fantômes qui errent dans les rues. La nuit, ce sont des fantômes qui dorment enveloppés dans le journal d’hier, en guise de couverture. »