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Critiques de Tom Mandrake (9)
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Sidekick, tome 1 : Descente aux Enfers

Le concept (mettre l'accent sur le sidekick, c'est-à-dire l'assistant du super-héros, par exemple Robin pour Batman) m'avait attiré. Au final je suis déçu, essentiellement à cause des dessins. Si le scénario, assuré par Straczynski présente un intérêt certain, que dire du travail de Tom Mandrake, si ce n'est qu'il ne fera que donner du grain à moudre à ceux qui critiquent l'aspect graphique des comics en général ? Encrage à la truelle, arrière-plans qui vont de médiocres à inexistants, quelques erreurs de proportions anatomiques grossières....on se dit juste que le boulot est bâclé.



Inutile, donc, de rechercher le plaisir des yeux. L'histoire, néanmoins, n'est pas déplaisante. Flyboy, assistant du super-héros Red Cowl (protecteur de Sol City) assiste, impuissant, à l'assassinat de son mentor, d'une balle dans la tête, alors qu'il parade en ville dans une décapotable (ça ne vous rappelle rien ?). Dès lors, s'en suit une douloureuse descente aux enfers, le titre de ce premier tome n'est donc pas à prendre au deuxième degré. Straczynski, dans sa volonté de mettre à mal la relation héros/sidekick met en scène quelques moments savoureux, bien que noirs, très noirs. Usant de ses techniques narratives habituels (flashbacks, voix off très présente, faux-semblants), l'auteur ne présente aucun personnage bons ou mauvais et sous les masques on ne découvre, à défaut de héros, que des hommes, avec leurs lâchetés, leur faiblesse morale, leurs ambitions et leurs désirs. A l'image d'un roman noir, la ligne est toujours floue entre bien et mal. Le suspens n'est pas, semble-t-il, la clef de voute de ce comic puisque Straczinski commence déjà, à la fin, à lever le voile des faux-semblants (à moins que nous n'ayons affaire à de faux faux-semblants ?^^). J'ai l'impression que c'est davantage l'évolution des personnages, notamment de Flyboy, qui l'intéresse, à savoir jusqu’où est-il capable d'aller dans l'immoralité et dans la souffrance.



Une série au ton résolument adulte que je ne conseillerai, cependant, qu'aux inconditionnels de l'auteur.
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Sidekick, tome 1 : Descente aux Enfers

Encore un grand coup pour Delcourt qui a édité en début d’année le premier tome de cette mini-série de l’immense J. Michael Straczynski, chronique sombre et désespérée sur la lente déchéance d’un faire-valoir désireux de profiter autant qu’il le peut des miettes de la gloire de son mentor tout en enquêtant sur sa disparition.



Malgré des dessins assez peu agréables, l’histoire est captivante et riche et fait passer l’ancien poisson-pilote de super-héros par tous les stades.



A suivre donc.
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Sidekick, tome 2 : Revanche d'un loser

Ce tome fait suite à Sidekick 1 (épisodes 1 à 6) qu'il faut avoir lu avant. Il comprend les épisodes 7 à 12, initialement parus en 2014/2015, écrits par Joe Michael Straczynski, dessinés et encrés par Tom Mandrake, avec une mise en couleurs du studio Hi-Fi. Ces 12 épisodes forment une histoire complète, indépendante de toute autre.



Dans la ville (fictive) de Sol City, Flyboy (Barry Chase) était l'aide adolescent (sidekick) du superhéros Red Cowl (Thomas Winchester). Julian Moonglow (une supercriminelle) a mis le grappin sur Barry Chase et l'a convaincu d'effectuer un retour en force dans le monde des superhéros, sous le nom de Sidekick, et du côté des criminels. Non seulement la vie en tant que bon citoyen n'a pas marché pour Chase, mais en plus ses soupçons se confirment : Red Cowl n'est pas mort et l'a laissé tomber comme une vieille chaussette.



En parallèle quelques séquences reviennent sur la façon dont Thomas Winchester a pris sa retraite de son activité de superhéros, à quel prix, ce qu'il a fait depuis. La fin du tome revient sur l'enfance de Barry Chase, la manière dont ses parents ont accepté sa différence, et le prix qu'il a payé pour que Red Cowl le prenne sous sa tutelle.



Avec le premier tome, Joe Michael Straczynski (en abrégé JMS) présentait un personnage inattendu : Barry Chase, un jeune homme sans valeurs morales, laissé tout seul par son mentor abattu sous ses yeux, utilisant ses superpouvoirs à des fins mesquines et répréhensibles, minant toujours plus son amour propre. En plus il était vampirisé par Moonglow, absorbant régulièrement une partie de son énergie vitale à son insu. Le lecteur le retrouve toujours sous l'influence, cette fois-ci ouverte, de cette femme qui souhaite se venger de Red Cowl qui aurait causé la mort de sa sœur.



La séquence d'ouverture balaie tout doute : Barry Chase a endossé l'identité d'un supercriminel, il s'est allié à Moonglow, il est mû par une volonté de vengeance à l'égard de son ancien père adoptif. JMS ne plaisante pas et il n'y aura pas révélation à l'eau de rose, permettant un retour à l'ordre établi. C'est ce qui surprend le plus le lecteur qui a tendance à anticiper le déroulement de l'histoire à l'aune des schémas habituels des comics de superhéros. Non, Barry Chase ne retrouve pas une fibre morale qu'il aurait bêtement égarée. Non, Red Cowl ne revient pas pour sauver son protégé d'une forme d'autodestruction. Non, Moonglow n'est pas la sœur cachée de Barry Chase.



Oui, ce récit met en scène des adultes pensant avant tout à leur propre personne, ayant abandonné toute illusion sur la notion d'altruisme. L'auteur prend donc son lecteur à rebrousse-poil dans la mesure où il part du concept de superhéros (fondé sur l'altruisme), et en fait aucun personnage ne respecte cette règle du jeu. En ce sens le récit est nihiliste car le personnage agit sur le coup de ses pulsions, sans aucun respect pour la notion de société. Barry Chase dispose de capacités physiques extraordinaires qui lui permettent de ne pas avoir à se soucier des conséquences de ses actes sur les autres. Il agit comme si seule sa personne compte, sans crainte des répercussions puisque sa force le place au-dessus des lois, au-dessus des êtres humains. Il tue pour mettre fin à des problèmes, sans remord, mais aussi sans haine.



Dans un premier temps, le lecteur se dit que le comportement de Barry Chase est immature, car il se venge de manière très primaire et basique. Ce personnage ne cherche pas à devenir maître du monde, ou amasser des richesses, ou même régner sur une communauté dont il serait l'être suprême. Il cherche juste à faire du mal à ceux qui l'ont humilié ou qui lui ont eux-mêmes fait du mal. Il se dit également que le récit est bizarrement construit. Le dénouement de l'intrigue intervient à la fin de l'épisode 10 qui apporte une résolution définitive à l'antagonisme contre Red Cowl. Du coup il' s'interroge sur l'intérêt d'avoir ajouté encore 2 épisodes consacrés à la jeunesse de Barry Chase. Pourtant, au vu du niveau d'expérience professionnelle de JMS, il n'y a pas de doute que ce récit a été conçu comme un tout dès l'origine.



Le lecteur apprécie que ce soit le même artiste qui ait dessiné l'ensemble de la série, même s'il retrouve les tics graphiques de Tom Mandrake, y compris les plus irritants. Pour commencer, de nombreuses cases sont dépourvues d'arrière-plan. L'artiste masque cette absence généralement par le biais de gros plans, de telle sorte que le visage des personnages occupe 80% à 90% de la case, occultant l'absence de décor. Il a également recours à des traits non descriptifs, soulignant les mouvements des personnages, et évitant de représenter des éléments concrets en fond de case. Ensuite il y a sa façon de détourer les formes par le biais de traits secs, délimitant certains contours de manière grossière. Si le regard du lecteur s'attarde sur un visage, un bras, ou parfois un objet, il est saisi par sa laideur, et parfois ses proportions hasardeuses. D'une certaine manière, il s'agit dans ces cas-là de dessins grossiers, d'esquisses pas assez finalisées. Ces cases jurent d'autant plus en comparaison de la silhouette de Julia Moonglow ou des autres femmes dont le dessinateur accentue les courbes, et met leurs rondeurs en avant, apportant là un degré de finition en décalage avec ces cases plus grossières.



Tom Mandrake dessine donc à destination d'adultes, avec des choix esthétiques discutables, toujours sous forte influence de Gene Colan, c’est-à-dire en exagérant les zones d'ombres, en masquant artificiellement certaines zones par des aplats de noir abstraits (= qui ne correspondent pas à une ombre portée), ou par des traits de mouvement. Puis arrive l'épisode 9 qui est dépourvu de texte (un épisode silencieux, sans phylactère ni cellule de texte). Le présent tome comprend également le script de cet épisode, tel que JMS l'a transmis à Tom Mandrake. Le lecteur un peu curieux y jette un coup d'œil et découvre que le scénariste précise le nombre de cases par page (entre 4 et 6 en majeure partie) et décrit ce qui s'y passe en 1 courte phrase par case. Il est facile d'ironiser en se disant que ce n'est pas si difficile que ça d'être scénariste, car ce n'est vraiment pas grand-chose à la fin. Il faut garder à l'esprit que Straczynski a également conçu l'intrigue, sa structure, la personnalité des protagonistes, etc.



Néanmoins, avec le script sous les yeux, le lecteur prend mieux conscience du travail de narration réalisé par Tom Mandrake. À partir de ces 110 lignes de texte, l'artiste raconte l'histoire avec une expressivité qui ne se trouve pas dans le script. Il décrit chacun des endroits, finalement avec un luxe de détails à partir d'au maximum un ou deux mots dans le script. Il communique l'état d'esprit de chaque personnage par le biais de sa posture ou de la forme de son mouvement, ajoutant des nuances appropriées qui ne se trouvent pas non plus dans le script. Grâce à ses dessins, Thomas Winchester prend vie, et son comportement fait passer son état d'esprit, ainsi que son évolution. De la même manière, les dessins montrent avec clarté ce que font Barry Chase et Julia Moonglow, sans que l'absence de mots ne se fasse ressentir.



La forme de cette épisode met en lumière la qualité de la narration visuelle de Tom Mandrake. En l'absence de mots, et avec la connaissance du contenu du script de l'épisode 9, le lecteur comprend l'apport de Tom Mandrake à la narration. Sa compréhension et sa vision des dessins de l'artiste se transforment. Il voit sous la surface de l'apparence, et derrière les tics un peu agaçants. Il voit apparaître la réalité du travail réalisé par l'artiste, à quel point on est loin de simplement représenter ce que le scénariste a imaginé. Bien sûr les raccourcis graphiques demeurent, mais le lecteur en conçoit plus de respect pour le travail de l'artiste, et pour ses compétences insoupçonnées en matière de narration.



Après ce neuvième épisode, le lecteur découvre la résolution de l'intrigue dans l'épisode 10, puis s'interroge sur ce qui a poussé JMS à rallonger la sauce avec 2 épisodes supplémentaires revenant sur l'enfance de Barry Chase, ce que dans un comics de superhéros, on appellerait son origine secrète. À la truelle, le scénariste en rajoute une couche en termes d'enfance malheureuse, et de faiblesse morale pour le personnage. Ça finit par faire très lourd. Mais il est possible également de regarder cette dernière partie sous un autre angle. Dès le départ, Straczynski a dépeint Barry Chase comme un être détestable, uniquement préoccupé de sa petite personne, prêt à toutes les mesquineries et les compromissions, aigri et profitant de sa force dans des combines minables, pas très futé. Les 2 derniers épisodes chargent encore la barque, mais incriminent aussi son entourage. Le lecteur peut alors réexaminer les actions de Barry Chase, à l'aune de l'exemple donné par les adultes avec qui il a grandi. Sous cet angle, les actions passées de Barry Chase prennent un autre sens, de même que la scène finale de l'histoire.



À première vue, cette deuxième moitié s'avère décevante pour un scénario de revanche mesquine et pour des dessins qui ne vont pas en s'améliorant. Avec un peu de recul, le lecteur peut apprécier le travail narratif réalisé par Tom Mandrake, et il découvre que l'intention de l'auteur est d'une autre nature que ne le laisse supposer les 10 premiers épisodes. Finalement, Joe Michael Straczynski et Tom Mandrake ont réalisé une histoire bien plus noire que prévue, et plus originale que la simple revanche d'un assistant adolescent (Sidekick) aigri contre son mentor. 5 étoiles pour un récit de superhéros qui sort du lot.
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Sidekick, tome 1 : Descente aux Enfers

Ce tome contient les épisodes 1 à 6 d'une nouvelle série, déconnectée de tout autre. Ces épisodes sont initialement parus en 2013/2014. Ils sont écrits par Joe Michael Straczynski (en abrégé JMS), dessinés et encrés par Tom Mandrake, et mis en couleurs par le studio HiFi.



Dans la ville (fictive) de Sol City, Flyboy était l'aide adolescent (sidekick) du superhéros Red Cowl. Lors d'une parade, Red Cowl a été abattu d'une balle dans la poitrine et d'une deuxième balle en pleine tête, alors qu'il se tenait debout dans une voiture décapotable. Depuis, Barry Chase (Flyboy) a découvert que Red Cowl (Thomas Winchester) avait englouti toute sa fortune dans des dépenses pour assurer son train de vie de superhéros (manoir, gadgets technologiques, repaire secret...). Depuis l'assassinat de son mentor, la vie de Flyboy est un naufrage. Sa campagne de levée de fonds sur Internet (crowdfunding) a échoué lamentablement. L'assistante de Red Cowl (Melody) a refait sa vie avec un autre homme, l'excluant totalement de sa vie. Il vit dans un appartement minuscule et minable. Il a essuyé une belle claque en essayant de séduire Joan Darling, la journaliste qui était amoureuse de Red Cowl. Il en est réduit à se faire faire une gâterie par des prostituées, en échange de sa tolérance pour leur activité illégale. Il a commencé à taquiner la dive bouteille. En prime, il est victime à son insu de Julia Moonglow, une supercriminelle qui lui ponctionne régulièrement une partie de sa force vitale.



La séquence d'ouverture retrace l'un des exploits de Flyboy en compagnie de Red Cowl et le lecteur hésite entre parodie et série Z. Les noms des 2 superhéros sont débiles et ras-les-pâquerettes. L'action est basique et dépourvue d'imagination. L'encrage apporte une touche de mouvement à des dessins dépourvus d'arrière plan.



La deuxième séquence change totalement de ton montrant un individu abusant de son pouvoir pour bénéficier d'une passe minable dans une ruelle. Barry Chase a été incapable de se remettre de la mort de Red Cowl. Le décès brutal de son père de substitution l'a laissé démuni sur le plan matériel, mais aussi sur le plan spirituel. Il a tenté de suivre les traces de son père, en échouant systématiquement. Du coup le lecteur ne peut pas prendre fait et cause pour cet individu aux valeurs morales douteuses, qui a recours à des subterfuges foireux pour essayer de gagner une position sociale (être un superhéros reconnu), qui ment (il rapporte des bijoux, qu'il a lui même volé auparavant). JMS montre dans chaque épisode qu'il ne s'agit pas d'un simple moment de faiblesse, mais bien d'un trait de caractère du personnage, que de céder à une forme de facilité pour résoudre ses difficultés. Il n'y a pas d'amorce de rédemption. Le cas de Barry Chase est même un peu aggravé par son incapacité à réfléchir aux conséquences de ses actes, à les anticiper. Cela relève, au choix du lecteur, d'une forme de naïveté du personnage, de son inexpérience, ou même de la bêtise pure et simple.



L'encrage appuyé de Tom Mandrake montre un monde aux contours âpres, aux surfaces pas toujours faciles à cerner, parce que mangées par des aplats de noir. Ce n'est pas un environnement ou des individus, accueillants ou rassurants. Il y a toujours une part d'ombre. Même si les silhouettes féminines présentent des courbes voluptueuses et des formes généreuses, leurs visages sont dessinés à gros traits, et l'ombre portée insinue une forme de dissimulation, d'inconnu inquiétant. Dans son approche esthétique, Mandrake emprunte régulièrement à Gene Colan, ses traits figurant le mouvement et les ténèbres. Il ne s'agit pas de plagiat, Mandrake ayant plutôt intégré cette technique dans sa propre approche, un peu simplifiée par rapport à celle de Colan.



D'un côté Tom Mandrake propose des visuels à l'apparence adulte, avec un encrage à mi chemin entre une impression de spontanéité du fait de traits un peu lâches, et entre un des traits épais conférant une forme d'incertitude et d'ambigüité à chaque surface, chaque endroit, chaque personnage. Il réussit des décors tout aussi plausible : al chambre minable de Barry Chase, l'impressionnant bureau du notaire, la large rue arborée de banlieue où habitent les sœurs Moonglow, l'entrepôt obscur où Flyboy prend livraison d'un nouveau costume.



D'un autre côté, Mandrake a recours à des raccourcis graphiques qui sapent pour partie les qualités réelles de ses dessins. Comme beaucoup de ses confrères, il abuse des expédients lui permettant de s'économiser en ne dessinant pas les arrières plans. Le summum est atteint dans l'épisode 6 : 9 pages de combat entre Flyboy et Triple Threat, avec une seule case comprenant un décor vaguement esquissé (pour un épisode de 22 pages). À plusieurs reprises, le lecteur constate également que Mandrake se contente de représentations stéréotypées et simplistes pour les différentes constructions (quelques traits pour délimiter un parallélépipède rectangle suffisent pour faire un immeuble). Ce travers nuit également à l'immersion.



Alors que la première séquence pourrait laisser craindre un récit dépressif vite bricolé à partir de clichés, Straczynski reste cohérent du début jusqu'à la fin en présentant un personnage pathétique, manquant de rectitude morale, échouant dans chacune de ses tentatives pour s'en sortir. Les individus avec lesquels il interagit échappent également à une partition entre bons et méchants, disposant tous de leurs propres motivations et propres objectifs dénués d'altruisme. JMS a même l'élégance de tout de suite lever le voile sur le destin de Thomas Winchester. Il inscrit donc son récit dans le registre du roman noir, où les individus se débattent avec les aspects les moins reluisants de la condition humaine, sans grand espoir d'un avenir meilleur.



À l'aune des comics de superhéros traditionnel, Stranczynski et Mandrake ont créé un récit adulte, cruel et bien noir, 5 étoiles. Toutefois certains raccourcis graphiques et facilités de scénario diminuent l'impact de ces qualités et nuisent à l'immersion pour un lecteur adulte, 4 étoiles comparé au Brat pack de Rick Veitch (également consacré aux sidekicks).
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Sidekick, tome 1 : Descente aux Enfers

Une série en deux tomes très intéressante qui explore un type de personnage très peu mis en avant habituellement.
Lien : http://www.bdencre.com/2015/..
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Sidekick, tome 1 : Descente aux Enfers

Une histoire poignante dédiée à cet apprenti héros qui passe de la gloire au caniveau.
Lien : http://bulles-et-onomatopees..
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Sidekick, tome 1 : Descente aux Enfers

Un super-héros qui décède, son adjoint qui tente d’assurer la relève, mais qui sombre à son tour... "Sidekick" propulse ses personnages, mais également le lecteur, vers une descente aux enfers mêlant cynisme et chaos.
Lien : http://www.actuabd.com/Sidek..
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Sidekick, tome 1 : Descente aux Enfers

Une nouvelle série dont l'intérêt et la portée laissent dubitatif, marchant sur les traces de Watchmen et de Supergod sans en atteindre l’envergure ni la densité d’écriture.
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..
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Sidekick, tome 1 : Descente aux Enfers

Aucune subtilité dans l'écriture, le récit se contente d'insister lourdement sur la poisse dans laquelle se retrouve le jeune héros et rien ne lui est épargné ! Toutefois je trouve aussi que Straczynski ne touche que du bout des doigts cette idée du Sidekick, de son mentor, de l'image qu'ils laissent derrière eux, on est nettement dans la retenue tout du long...
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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