Et si l’enfer était le paradis du diable ? Qui sait si les tyrans, les criminels et les sadiques n’y tiendraient pas une place de choix, comme tortionnaires peut-être, en reconnaissance des sévices et des services rendus de leur vivant. Alors que le paradis ne serait qu’une morne plaine où la paix éternelle plongerait dans un état d’ennui et de lassitude perpétuels.