Accusé du meurtre de deux policiers, condamné à mort puis emprisonné à perpétuité, Thomas (Tommy) Trantino retrouve la liberté après trente-huit années (1963-2001) derrière les barreaux de diverses prisons du New Jersey.
Dans Lock the lock (1974), ensemble de lettres-poèmes et d’illustrations produites durant son séjour pénitentiaire, il exprime son amour inaltérable pour la vie, pour le plaisir que lui offre l’art, seul échappatoire.
Et après! Merde! J'anéantis la souffrance et je vis j'aime je ressens plus et encore plus je ne vis pas pour mourir de trop avoir ressenti mais pour mourir en ressentant je veux mourir re vêtu de ma sensibilité ouai