Nous avons insisté (...) sur l'apparition d'une société adolescentrique, une société qui se conforme de plus en plus aux adolescents, à leurs états de conscience, à leur façon de penser et d'agir. Sous couvert de spontanéité et de vitalité juvéniles, puisqu'il faut rester jeune, on donne surtout libre cours aux conduites impulsives et aux pulsions partielles comme pendant l'enfance.