Citation de rubensdany
p 147 La nature parle mathématiques
Le nombre est le principe et la source de toute chose, proclamait déjà Pythagore au VIème siècle av J.-C ..... Le livre de la nature est écrit dans un langage mathématique.
p. 168 Pour moi, la science tend vers un but bien déterminé qui est la vérité.
p. 175/175 Après avoir dominé la pensée occidentale pednant quelques trois cents ans, la vision newtonienne d'univers fragmenté, mécaniste et déterministe a laissé la place à celle d'un monde holistique, indéterministe et exubérant de créativité.
p. 187 Le savoir ne tue ni la poésie, ni le mystère, et encore moins la beauté.
p. 193 .... la science n'a rien à dire sur la façon de mener notre existence et de vivre en société. Elle ne suffit pas pour nous rendre heureux. ..... La science moderne a énormément contribué à alléger notre quotidien, mais elle ne peut pas nous offrir le bien être-moral. C'est seulement en nous transformant intérieurement que nous pouvons espérer atteindre la sérénité et le bonheur.
p. 217 La vacuité, l'absence d'une réalité intrinsèque.
Parce que tout est interdépendant, rien n'exiqte en soi, ni ne peut être sa propre cause. L'idée d'une réalité autonome n'est pas valide ( notion boudhique).
p. 218 Toute tentative visant à saisir une réalité intrinsèque se solde par un échec cuisant. Celle-ci est irrémédiablement modifiée et se transforme en une réalité "subjective".
p. 219 L'univers n'est pas fait d'entités solides et distinctes, il est comme un vaste flux d'événements changeants et mouvants, et de courants dynamiques en perpétuelle évolution, tous interconnectés et interagissant continuellement.
p. 235 Je pense que si l'homme est doué de connaissance intellectuelle et capable de déchiffrer le code cosmique, c'est parce que la conscience n'est pas un heureux hasard de l'évolution cosmique ( voir la suite).
p. 236 Principe créateur (GDALU ?) Leibniz : Pourquoi y a t-il quleque chose plutôt que rien ?
P. 241 .... on pourrait dire que se le libre arbitre n'existe pas. les concepts de valeur, de responsabilité, de morale, de justice et d'éthique qui sont à la base des sociétés humaines et de la civilisation n'ont pas davantage lieu d'exister
Le nombre est le principe et la source de toute chose, proclamait déjà Pythagore au VIème siècle av J.-C ..... Le livre de la nature est écrit dans un langage mathématique.
p. 168 Pour moi, la science tend vers un but bien déterminé qui est la vérité.
p. 175/175 Après avoir dominé la pensée occidentale pednant quelques trois cents ans, la vision newtonienne d'univers fragmenté, mécaniste et déterministe a laissé la place à celle d'un monde holistique, indéterministe et exubérant de créativité.
p. 187 Le savoir ne tue ni la poésie, ni le mystère, et encore moins la beauté.
p. 193 .... la science n'a rien à dire sur la façon de mener notre existence et de vivre en société. Elle ne suffit pas pour nous rendre heureux. ..... La science moderne a énormément contribué à alléger notre quotidien, mais elle ne peut pas nous offrir le bien être-moral. C'est seulement en nous transformant intérieurement que nous pouvons espérer atteindre la sérénité et le bonheur.
p. 217 La vacuité, l'absence d'une réalité intrinsèque.
Parce que tout est interdépendant, rien n'exiqte en soi, ni ne peut être sa propre cause. L'idée d'une réalité autonome n'est pas valide ( notion boudhique).
p. 218 Toute tentative visant à saisir une réalité intrinsèque se solde par un échec cuisant. Celle-ci est irrémédiablement modifiée et se transforme en une réalité "subjective".
p. 219 L'univers n'est pas fait d'entités solides et distinctes, il est comme un vaste flux d'événements changeants et mouvants, et de courants dynamiques en perpétuelle évolution, tous interconnectés et interagissant continuellement.
p. 235 Je pense que si l'homme est doué de connaissance intellectuelle et capable de déchiffrer le code cosmique, c'est parce que la conscience n'est pas un heureux hasard de l'évolution cosmique ( voir la suite).
p. 236 Principe créateur (GDALU ?) Leibniz : Pourquoi y a t-il quleque chose plutôt que rien ?
P. 241 .... on pourrait dire que se le libre arbitre n'existe pas. les concepts de valeur, de responsabilité, de morale, de justice et d'éthique qui sont à la base des sociétés humaines et de la civilisation n'ont pas davantage lieu d'exister
