- Dis-moi, frérot… T’y crois, toi, au bien et au mal.
- Bien sûr, mon fils, c’est la ligne tracé par notre seigneur pour séparer l’homme de la bête. […]
- Le mal n’existe pas. Chacun fait comme il peut. […] Il n’y a pas de bien ! Pas de mal ! Juste la survie du plus fort !!! Vous avez inventez la culpabilité pour que les couilles molles dans ton genre puissent survivre sur le dos des imbéciles comme des parasites.