Il ne s'agissait pas d'exploiter la main-d'œuvre, mais de lui verser des salaires proportionnés à son niveau et à sa situation d'origine. Pour six euros, un chômeur finlandais ne bouge de son canapé que pour aller faire son loto sportif. Un Estonien, pour le même prix, quitte sa famille, loge dans une caravane et travaille quatorze heures par jour.