Le terme, cubisme, était d'ailleurs né d'une manière toute fortuite sous la plume du critique d'art du Gil Blas, Louis Vauxcelles, qui avait écrit en effet que : Braque méprise les formes, réduit tout, sites, figures et maisons romaines, à des schémas géométriques, à des "cubes".
Le mots avait fait fortune et, l'année suivante, les toiles présentées au Salon des Indépendants étaient définies "bizarreries cubiques".
Lorsque l'on parle d'art abstrait, Mondrian ne figure pas, à juste titre, parmi ceux que l'on qualifie de pionniers de cette tendance créatrice.