Les ailes des enfants étaient donc le moindre des soucis de Mme Tabby qui avait déjà beaucoup de mal à se procurer de la nourriture et à élever sa progéniture. Chaque matin, elle lavait consciencieusement les soyeuses petites ailes comme elle lavait les mentons, les pattes et les queues ; de temps à autre, elle y songeait bien un peu, mais elle travaillait trop dur pour avoir le loisir de réfléchir sérieusement à des phénomènes incompréhensibles.