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4.22/5 (sur 23 notes)

Biographie :

Val L. Durand est une écrivain, aimant Mary Higgins Clark, Harlan Coben, Franck Thilliez entre autres pour le côté thriller.
Elle est l'auteur de deux romans : "Run away" et "Closer".


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Citations et extraits (44) Voir plus Ajouter une citation
Chapitre 6 : Emily :
...
- Ce n'est pas de refus. Évite juste de me salir, je ne voudrais pas être obligé de faire un striptease devant tout le monde, me rétorque-t-il avec un clin d'œil.
Ce mec doit être bipolaire ou avoir un jumeau qui prend sa place de temps en temps : ce n'est pas possible autrement.
- À moins que tu préfères que l'on garde cela quand nous ne serons que tous les deux, ajoute-t-il d'une voix suave.
Je ne sais plus où me mettre. Debout devant lui, je me balance d'un pied sur l'autre, ne sachant pas non plus quoi faire de mes mais, tout en évitant de croiser ses pupilles. il me fait carrément une proposition indécente sur mon lieu de travail !
Bien que je en sois pas contre l'idée...
Mais qu'est-ce que je raconte ? Cet homme me trouble, il faut vraiment que je calme les palpitations de mon cœur.
...
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Prologue :
" ... J'ai toujours aimé ce moment dans l'action, cet instant où il faut être le plus concentré. Le contrôle de soi est mon domaine de prédilection. C'est l raison pour laquelle ces missions à haut risque me sont dévolues. je suis le meilleur. Ou je l'étais pour mes pairs...jusqu'à ce fameux jour.
À cette évocation, ma vision se trouble et je sen des gouttes de sueur perler à mon front. Ma respiration s'accélère.
Putain, pas maintenant !
Je passe ma main gantée sous la cagoule et frictionne mon visage afin de reprendre mes esprits. Je plie et déplie les doigts pour arrêter les tremblement... Ne pas flancher !
Ne. Pas. Flancher... Tu. Peux. Le. Faire... Putain, chaque fois que j'y pense, ça me flingue.
Je m'exhorte au calme en prenant une grande inspiration. Lorsque je recouvre enfin le bon état d'esprit, je me remets en position et colle mon œil au viseur, le doigt sur la gâchette.
Prêt."
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Elle a l’air d’être seule. Personne ne lui adresse la parole. Le groupe à côté d’elle lui tourne même le dos. Je n’ai jamais été attiré par les brunes. Je ne sais d’ailleurs pas pourquoi je reste focalisé sur elle ; les autres filles sont beaucoup plus affriolantes. Peut-être justement parce qu’elle n’est pas comme les autres.
Elle triture sans cesse son téléphone, observe les danseurs sans vraiment les voir, comme si elle était concentrée sur autre chose. Je continue mon examen et, se sentant épiée, elle relève les yeux vers moi. Nos regards s’accrochent quelques secondes mais, lorsque je lève mon verre à son intention pour la saluer, elle détourne rapidement la tête, ce qui m’éclate encore plus.
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Elle me pousse sur son lit afin de joindre le geste à la parole et je tressaute de désir sous l’assaut de sa langue partout sur mon corps. Arrivée au niveau de la ceinture, elle n’hésite pas une seconde et tire sur mon jean, faisant glisser mon boxer en même temps. Elle me regarde avec délice, mais je préfère rectifier la situation en la déshabillant à mon tour. C’est à mon tour d’explorer son corps avec ma langue. Mais, d’humeur dominatrice, elle me retourne sur le dos et se place à califourchon sur mes cuisses. Elle se penche au-dessus de moi, ses cheveux me chatouillant le torse, pour ouvrir le tiroir de son chevet et attraper un préservatif dont elle me revêt aussitôt.
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La lesbienne qu’il aurait réussi à détourner du droit chemin en la mettant dans son lit. Sa réaction m’horripilait, ce qui m’a aidée à ne pas succomber à son charme. Ce n’était pourtant pas facile : ce mec est une vraie gravure de mode avec un corps dessiné à la perfection. Il pue le sexe à plein nez.
À cette pensée, mon corps se met à chauffer et ce n’est certainement pas l’effet du soleil. Mon bas de maillot de bain s’humidifie alors qu’il était pratiquement sec. Ce n’est pas la première fois que je réagis de cette manière et cela m’étonne à chaque fois. Je me redresse d’un bond et file à l’intérieur, à la recherche d’un peu de fraîcheur.
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J’ai donc décidé, pour ma santé mentale, de couper les ponts avec elle dès que cette histoire sera terminée. Je vais lui prouver que je ne suis pas un enfoiré et que j’ai une seule parole. Je vais l’accompagner au commissariat. Après, basta… J’ai déjà donné dans la friendzone et il est hors de question que j’y retourne, surtout avec elle. Avec Joan, j’arrivais plus ou moins à faire la part des choses. Je la connais depuis l’enfance. J’ai toujours éprouvé le besoin d’être près d’elle, mais le besoin de la protéger passait bien avant mes propres sentiments.
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J’ouvre les paupières, rencontre son regard intense,assombri par le désir. De ses mains sur mes hanches et d’un mouvement du bassin, Sean me force à reculer pour me bloquer contre le mur. Ses paumes viennent se plaquer de chaque côté de mon visage. Je suis prisonnière de son corps.
Contrairement à son attaque, son baiser est doux, tendre. Sa langue caresse sensuellement mes lèvres et, je ne sais pas pourquoi, je les entrouvre afin qu’il puisse s’insinuer en moi. Nos langues se rencontrent et se frôlent, entamant un joli ballet.
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Toujours concentré sur ma bouteille, je relève les sourcils, prêt à me moquer d’elle.
Toute sa vie ? Elle n’exagère pas un peu, non ? Quelle vie trépidante elle doit avoir…
N’en pouvant plus, je risque finalement un coup d’œil vers elle. Affublée d’un jean taille haute assez large et d’un tee-shirt ample, elle n’a décidément aucun don pour se mettre en valeur. Ses cheveux bruns sont retenus par son éternel chignon bas d’où, contrairement à la veille, s’échappent quelques mèches folles, lui conférant un petit côté… sauvage ?
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Mon corps entier n’est que douleur. Toutes les cellules de mon corps crient la souffrance, puis se calment, amenant avec elles la nuit ainsi que le silence. Ce cycle infernal se répète inlassablement. Ma phase de semi-conscience me permet à peine de distinguer des bruits inconnus.
La douleur qui me vrille le crâne est insupportable et me fait cligner des yeux. Un brouillard épais me recouvre, puis s’estompe lentement. Mes paupières finissent par s’entrouvrir et ce que je découvre me déstabilise.
Où suis-je ?
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Je cherche toujours à m’évader après une mission, histoire d’oublier ce que je suis devenu, mais jamais je ne perds pied comme je l’ai fait hier soir dans ce bordel. Le meilleur cocktail pour moi : alcool et sexe. Alcool pour anesthésier cette douleur qui ne me quitte plus, et sexe pour me rappeler que je suis en vie. Mais il n’y a rien de beau dans ce que je fais avec ces filles. Rien. Aucun sentiment. Je les baise et c’est tout. Je ne goûte rien. Même pas leurs lèvres. Je ne peux plus…
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