Elle n'a aucun projet dangereux, aucune nécessité d'attirer le regard.Ils sont ensemble, son père et elle, à l'exclusion de tous les autres, sauf le peuple des insectes, des oiseaux, des grenouilles.La forêt est un monde parfait. (...) Elle fait les gestes de son père (...) Elle veille sur lui.Rien ne manque. Rien n'excède. Tout suffit. (p
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