AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Valérie Mas (16)


Il avait fini par découvrir ce qu’il éprouvait pour elle, ses sentiments complexes qu’il ressentait à son égard. Ce qu’il prenait pour de la haine était de l’amour… la différence entre les deux est finalement si ténue… Et ça, ça le mettait dans une rage folle ! Pourquoi elle ! Il ne comprenait pas pourquoi ni comment, mais il savait ! Il savait que c’était elle la femme de sa vie !
Commenter  J’apprécie          40
Les sentiments qu’il éprouvait à son égard étaient flous, il n’arrivait pas lui-même à cerner ce que son cœur lui dictait. Tantôt, il la trouvait énervante, exaspérante même ! Tantôt elle le rendait fou. Ce dont il était sûr, c’est qu’elle ne lui était pas indifférente.
Commenter  J’apprécie          20
Elle qui le rend fou, lui fait perdre toute notion de réalité, le vide de toute substance cruelle. Elle n’est qu’amour, passion, adoration. Son regard transperce la toile et vient le toucher en plein cœur.
Commenter  J’apprécie          10
Certes, ils n’y comprenaient pas grand-chose en Art, mais ils savaient reconnaître quelque chose de beau et là, c’était bien plus que ça. Elle avait réussi non pas à reproduire, mais à recréer la petite étincelle, la magie qui émanait de ce jeune couple marié depuis à peine quelques heures dans une petite chapelle du coin. Leurs sourires timides, l’amour dans leurs yeux, les rayons du soleil se reflétant dans les cheveux noirs de la jeune femme, les ondulations dans les mèches rebelles du jeune homme, tout était comme dans son souvenir. Cette photo qu’elle n’avait jamais plus réussi à faire revenir comme avant.
Commenter  J’apprécie          10
Les amoureux de l’art passaient d’un trottoir à l’autre. Cet endroit était très prisé par les artistes, car il avait su garder son charme d’antan. Les vieilles pierres étaient recouvertes de liseron aux clochettes bleutées, les grands réverbères étaient en bronze ouvragé et soutenaient encore des lampes à huile dont la lumière s’étendait sur le sol pavé rendant l’endroit chimérique, on pouvait trouver de vieilles boutiques d’antiquités cachant de véritables trésors.
Commenter  J’apprécie          10
Quel plaisir de sentir à nouveau tout ça… le vent, les couleurs de l’océan, le bruit des vagues se fracassant sur les rochers, le chant des oiseaux, la vie était si belle ! Et surtout, être vivante ! »
Elle découvrait l’endroit où Il l’avait envoyé. Un endroit plein de beauté « mais qui peut avoir des problèmes dans un endroit aussi beau .
Commenter  J’apprécie          10
Un courant d'air froid fit voler mes cheveux, et j'entendis au loin le hululement d'un hibou. Je levai les yeux et le cherchai, quand enfin je le vis. Impressionnant droit et immobile, comme une statue de marbre. Ses yeux me transpercèrent de part en part. Comme un avertissement...
Commenter  J’apprécie          00
Le matin se leva enfin sur le Monde enchanté. Les oiseaux à trois ailes commençaient à piailler, le chat bleu de la voisine léchait ses écailles luisantes et les papillons volaient en laissant trainer derrière eux une poudre scintillante.
Commenter  J’apprécie          00
J’entendais Emma me raconter ce qu’il venait d’arriver, mais j’étais comme dans un nuage de
vapeur, mon esprit était encore tout ensommeillé et je revoyais en boucle la neige qui tombait, cette femme blonde, le visage presque recouvert par sa capuche d’où quelques mèches blondes ressortaient, de longs cheveux blonds, la tête haute et le regard fier tandis qu’on lui lançait des pierres. Je passais mes mains sur mon visage comme pour retirer ces images de ma tête. La même chose m’était arrivée en France, prés de la lanterne des morts… Mais jamais je n’avais eu
ce genre de vision, de rêve, de… je ne sais même pas de quoi. Tout semblait tellement réel. Comme si j’y étais…

— Gabriel, tu m’entends ?
— Oui Emma, je suis désolée… Je ne sais pas ce qui m’arrive. C’était… étrange…

— Qu'est-ce qui était étrange ? demanda Emma en fronçant les sourcils.
Elle me prit la main.

— J’ai vu… J’ai eu comme des visions, enfin je ne sais pas… J’y étais peut-être… Oh je ne sais
plus…
— Ce n’est pas grave Gabriel. Reste allonger encore un moment. Ça ira mieux dans quelques
minutes.

— J’ai vu… la neige qui tombait sur le sol pavé, cette femme blonde avec une capuche, on lui
lançait des pierres et… mon Dieu tu vas me prendre pour un fou !
Mais je ne pouvais m’arrêter, le flux de mes paroles se déversait et il le fallait, je sentais qu’il le fallait.

— Ce n’était pas aujourd’hui, c’était une autre époque… au moyen âge et il l’a enfermé. Ce sale type
l’a enfermé de force en la traitant de… en la traitant de sorcière
Commenter  J’apprécie          00
Un bruit sourd fit sortir Eléa de ses joyeux souvenirs. Elle se tourna, sa mère se tenait devant la fenêtre en serrant quelque chose dans ses mains. Eléa avança à pas de loup vers elle et le petite cahier bleu tomba sur le parquet. Soudain, le temps resta en suspend. Plus rien ne bougeait, pas même Eléa qui pétrifiée, observait sa mère sans rien comprendre. Celle-ci la dévisageait complètement abasourdie. Eléa se retourna pour voir ce qu'il y avait derrière elle, il n'y avait rien.
Commenter  J’apprécie          00
La lune était pleine et sa lumière illuminait le triste visage d'Eléa. Cela faisait plus d'une heure qu'elle avait cessé de pleurer. Il lui avait semblé qu'elle n'avait plus de larmes. Elle avait mal partout. Son corps recroquevillé depuis des heures la faisait souffrir. Elle essaya de se relever, s'agrippant aux rochers autour d'elle, mais elle dérapa et retomba durement. Elle respira profondément pour empêcher les larmes qui étaient sur le bord de ces cils de couler à nouveau.
Commenter  J’apprécie          00
Evans s'avança, son rythme cardiaque augmentant à une vitesse folle. Il se mêla à la foule, se mit sur la pointe des pieds, bouscula des gens, mais cette masse devint trop compacte. Il ne put rien voir tant il y avait de monde. Il recula le cœur déchiré et vit un peu plus loin son ami, Luc qui lui faisait de grands signes. Les jambes flageolantes, son journal serré entre ses mains crispées, il finit par le rejoindre. Pourtant, tandis qu'il avançait vers son agent, il sentait au fond de lui quelque chose qui venait de se briser. Il ne put s'expliquer ce qu'était ce quelque chose et quel rapport y avait avec ce qu'il venait de voir. Il ne le savait pas encore mais son destin et toute sa vie venaient d'être chamboulés.
Commenter  J’apprécie          00
On ne voit pas la vie de la même manière et nos priorités ne sont pas les mêmes non plus. Toi, tu rêves de voyager à travers le monde pour ton travail, sans enfant ni mari que tu considères comme des poids et moi je ne rêve que de bonheur à deux ou à trois, peut-être même quatre un jour prochain.
Commenter  J’apprécie          00
— Mais comment fait-on pour évoluer ?
              — En fait, il suffit d’essayer de tirer des expériences de ses erreurs, mais aussi de ses réussites dans chaque vie.
Commenter  J’apprécie          00
Toutes les jeunes filles ont des secrets. Et parfois, cela peut paraître difficile de se confier à une personne.
Commenter  J’apprécie          00
C’était donc mon journal… Toute ma vie est dedans, ma courte vie…
Commenter  J’apprécie          00

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Valérie Mas (45)Voir plus


{* *}