Il forge son propre univers, avec ses codes, ses espoirs et sa logiques propres. Il s'installe au centre, réservant une place de choix à ses enfants, en particulier son fils. Péché d'orgueil ? Ce défi était sans doute hors de portée. C'était peut-être trop dur pour un seul homme. Avec la mort d'Alexandre, Aristote réalise tout le côté dérisoire de son oeuvre. En perdant son fils puis d'autres êtres chers, Aristote sent qu'il passe à côté de la vraie immortalité. Le reste...