- Où que se trouvent les cendres de ton père, la couche de crasse qui recouvre tes bottes doit les faire frémir, Aoseh.
- Je sais, répliqua-t-il avec un sourire. C'est justement pour cela que je me suis donné autant de mal pour les salir.
- Parfait, approuva-t-elle d'un voix flûtée. Je les aime bien ainsi.
- Tu aimes tout ce que n'aimait pas mon père.
- Parce qu'il n'aimait rien.