Véronique Boiry

Amandine Toupet est une petite fille de neuf ans pétillante, enjouée et curieuse. Passionnée de peinture, Arthur un voisin lui donne quelques cours. Un jour, il décide de l'emmener visiter le musée du Louvre. Comme tout le monde, Amandine est intriguée par le fameux sourire et le regard énigmatique de La Joconde. Mais, il est difficile pour elle de l'observer attentivement, tellement il y a de gens amassés autour du tableau de Léonard de Vinci.

Sa curiosité pousse la demoiselle à mettre tout en oeuvre pour percer le secret de La Joconde... et la nuit même, là voilà qui se faufile dans le musée. Hélas, elle n'est pas seule ; deux cambrioleurs arpentent aussi les sombres couloirs. Ils ont le projet de dérober l'illustre tableau.

Avant qu'ils commettent leur larcin, La Joconde va s'adresser à Amandine... oui, vous avez bien lu !

Et c'est grâce aux révélations de La Joconde qu'Amandine, aidé d'Arthur va retrouver le tableau volé après de nombreuses péripéties.

Un roman très drôle à mi-chemin entre le policier et le fantastique mené tambour battant par des personnages bien croqués, invitant implicitement le petit lecteur à réfléchir sur l'art.
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Ce roman m'a beaucoup plu et il est très enthousiasmant pour les jeunes. Le Louvre est devenu un topos des fictions et il est plutôt bien exploité ici.

Un petit roman policier qui permet de parler de la Joconde et du Louvre aux enfants à partir de 8-9 ans.

Amandine Toupet adore la peinture et son voisin Arthur lui donne des cours Il décide un jour de l'emmèner voir la Joconde au Musée du Louvre...

Ce petit roman raconte l'histoire d'un roi qui pour ne pas voir les visages "âgés" de son peuple lui ordonne de porter un masque. Il demande aussi à des géants de faire disparaître les nuages du ciel, pour qu'ils ne pleuvent plus.

Avait-il pensé aux conséquences ? Il semblerait que non !



N'hésitez pas à lire cette histoire très sympathique et très bien illustrée.

J'ai trouvé ce livre difficile à lire à un jeune enfant. Les illustrations ne collent pas avec ce que nous lisons. Le petit me demandait à chaque page qui a fait cela donc à chaque page, il cherchait un hypothétique responsable. Ce n'est pas le meilleur livre de Noël que j'ai lu.

Pour me vider l'esprit et surtout retrouver un peu de la légèreté et du rêve de l'enfance. J'aime me replonger pour quelques minutes (petit livre de 45 pages)dans des historiettes qui font sourire et mettent du baume au cœur.

C'est volontiers une histoire que nous verrions volontiers sur scène jouée par des comédiens tant le texte est joliment ciselé de rythmiques poétiques et drôles.

L'humour piquant et faussement innocent de ce grand conte, d'un fond plus moderne mais toujours chic et princier, nous rappelera l'irrésistible "Chemise d'une femme heureuse" de Suzie Morgenstern, chez Acte Sud Junior, toujours sur l'épanouissement du couple.

C'est cette fois l'histoire de Marie-Amétystes, fille unique d'un bourgeois de Bourges, capricieuse mais délicieuse qui nous fera sourire.



C'est la bonne fille à son papa et pourtant "Marie-Améthystes", il faudra bien te marier un jour et trouver mari, "Marie".

L'espiègle et facétieuse Marie-Améthyste trouvera la solution à son bonheur: l'homme idéal est un mari tout en pâtisserie.

Quelle drôle d'idée? Mais le papa ne saura rien lui refuser, alors marrions les.



On ne l'aurait pas supposé mais, oui, il s'agira par ailleurs d'un conte randonnée car le fiancé unique se fera enlever par une rivale bien moins intéressée par ses gourmandises que par le caractère unique à exploiter devant un entourage ébahi.



N'écoutant que son coeur ( ou sa peur d'être marié à un autre, peut-être), la jeune fille partira à la poursuite de la femme sans scrupules et croisera - aidera aussi, c'est la condition des contes - tour à tour des animaux qui lui promettront le retour de coup de pattes avec la formulette, "si tu as besoin de moi, dis seulement... ":

"Am stram gram

Mazulipatam

Quoi c'est ce ramdam

Taratatam..." ou



"Turlututu

Où s'que t'es tu

Ni vu ni connu

Lanterlu..." ou bien encore



"Do sol fa mi ré do

Boulot troppo makache bono

Ho hisse et hisse et ho

La ré mi fa mi sol do do..."



La jeune fille pourra t-elle revenir tout ceci le moment venu? Et vous, jeunes lecteurs, avez-vous tout ceci en tête?

Le récit sera un peu long, c'est presque un roman et correspondra à un public de 8 ans pour le lire. C'est du conte mais aussi de   l'aventure.

La chute sera apaitissante et vous verrez bien pourquoi. Une comédie pétillante grâce à son texte et son illustration.

Amélie est une fillette très gentille et serviable, une enfant qui dit toujours oui. Pourtant lorsque sa mère lui demande de descendre les poubelles elle tente toujours de négocier pour reculer le moment fatidique où il lui faudra emprunter l’obscure cage d’escalier et passer le plus silencieusement possible devant l’appartement de sa voisine qui a tout d’une sorcière, la mère Murdoch…



Mystère dans l’escalier est un roman première lecture qui incite les enfants à surpasser leur peur et surtout à ne pas se fier aux apparences. La mère Murdoch a tout d’une sorcière mais l’adorable rencontre que fera Amélie dans la cour va lui permettre de dépasser ses préjugés et découvrir que la vrai beauté vient de l’intérieur.



Un petit roman très sympathique idéal pour les jeunes lecteurs par la richesse des illustrations et l’épaisseur du texte. Le champ lexical de la peur est très bien exploité dans un texte abordable pour les enfants qui commencent à lire seul.
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