Vacillant sur mes jambes, les valises disparues des chambres mais à présent bien accrochées sous mes yeux, les nerfs en capilotade, la larme toujours sur le point d’affleurer et ne pensant plus qu’à une chose, ce besoin vital, animal, primordial, cette envie phénoménale de DORMIRRR, voilà comment je l’ai finie la première saison.