A soixante-dix passé, on peut encore rêver, avoir l’œil qui frise, le cœur qui s’affole. Car c’est bien ce qui est en train de se passer maman. […].
Pour la première fois depuis deux ans, je rentre à Paris le cœur léger. Je sais que cette fois, tu ne compteras pas les jours jusqu’à notre prochaine visite. Tu as quelqu’un d’autre à attendre.