Le tourbillon des passions s’est dissipé.
La saison des tempêtes s’est achevée.
En retombant, le vent a déposé sur la planète entière un linceul de poussière rouge, un suaire de silence.
De silence ?...
N’y a-t-il pas un léger crissement, au fond de cette éternité ?...
Un son évoquant des gravillons qui glissent, des pattes qui fouissent...
Là, tout près (...)