Cet homme m’avait volé ma joie, mon avenir et mon innocence. Chaque fois qu’il avait enfoncé son pénis dans ma chair, j’avais vu la blanche façade des années heureuses glisser comme une ombre vers le crépuscule, chaque fois qu’il m’avait frappé j’avais perdu un peu de ma mère, de mon père, de mes grands-parents, de ma sœur et de mes frères.