Citations de Victoria Aveyard (369)
En cours, nous étudions le monde qui a précédé le nôtre, un monde où des anges et des dieux vivaient dans le ciel, régissant la Terre avec bienveillance et amour. Certains prétendent qu'il s'agit de pures fables. Je n'en crois rien. Les dieux nous gouvernent toujours. Ils sont simplement descendus des étoiles. Et l'heure n'est plus à la bienveillance.
Je décoche des éclairs vers le ciel. Un signal : la faiseuse d'éclairs est libre ( p. 358 ).
N’importe qui peut trahir n’importe qui.
« Quand elle s’abstrayait du monde, ses yeux en étaient témoins. »
La chaleur s'intensifie, menace de chasser tout l'air de mes poumons. J'ai survécu à une électrocution aujourd'hui, pas sûr que je puisse m'en tirer face au feu.
La fumée risque de me tuer. Une fumée épaisse, noire et bien trop âcre, qui m'étouffe. Ma vision se trouble et mes paupières deviennent lourdes. J'entends des bruits de pas, des cris, le rugissement des flammes alors que le monde s'assombrit.
- Je suis désolé, me dit Cal.
Il s'agit sans doute d'un rêve...
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My mind flashes back to Grand Garden, to the beautiful, cruel creatures calling themselves human. All flashy and vain, with hard eyes and worse tempers
𝑳𝒂𝒊𝒔𝒔𝒆-𝒎𝒐𝒊 𝒔𝒂𝒊𝒈𝒏𝒆𝒓 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒕𝒐𝒊.
She tasted blood too. The blood of Gallish soldiers, the blood of sea serpents from another realm. And, of course, her own blood. So much blood Corayne felt she might drown in it.
But I am a pirate’s daughter, she thought, heart pounding. Her mother, the bronzed and beautiful Meliz an-Amarat, grinned in her mind’s eye.
We do not drown.
On ne comprend parfaitement aucun cœur. Pas même le sien.
Si je suis une épée, je suis une épée faite de verre, et je sens que je commence à me briser.
— Ce que les miens infligent aux tiens est absolument intolérable et puise dans ce que l'humanité a de plus vil. Vous opprimer, vous condamner à un cycle infini de pauvreté et de mort, au simple prétexte que vous êtes différents ? Voilà qui n'est pas juste. Et tout étudiant en histoire te le dirait : ça va mal finir.
— Il est étrange de contempler le monde tel qu'il était autrefois, n'est-ce pas ? lance le professeur qui surgit entre deux piles de livres.
Sa tunique jaune, tachée et délavée par le temps lui donne l'apparence d'un morceau de parchemin humain.
"Bien sûr qu il me manque " je parle de Cal , de Shade, de Maven même en un sens.
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Le silence me nourrit autant que le pain. C est facile de tout oublier ici. ...
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Mes doigts effleurent la dernière pierre, la plus récente. Elle est rouge elle aussi, rouge comme le feu , rouge comme mon sang.
Parce que oui , j y retournerai.
La citadelle est pleine de monde pourtant elle semble vide.
Diviser pour mieux régner.
L insinuation est limpide , les camps sont parfaitement définis.
La vérité n'a aucune importance. Seul compte ce que croient les gens.
- Tu crois que ça me fait plaisir de te voir dans cet état? murmure-t-il. Tu crois que j'ai envie de te garder prison-nière?
Sa respiration s'accélère.
C'est le seul moyen que j'ai trouvé pour que tu restes avec moi,
Mais nous avons tous le pouvoir de choisir au bout du compte. Et toi, tu as choisi d'avoir du sang sur les mains.
Ça ne devient pas plus facile de perdre des gens. On n'oublie jamais, quelle que soit la fréquence à laquelle cela se produit. On ne s'habitue pas.
La fille du début, la servante terrifiée qui se faisait passer pour une princesse et qui croyait le moindre mensonge aurait cédé à Maven depuis des mois. Elle a choisi d'endosser un autre rôle. Elle a joué la marionnette, a pris place à côté de lui, a vécu une existence tronquée sans liberté ni pouvoir. Mais elle s'est accrochée à sa fierté, à son énergie, à sa rage. Sa rage n'a jamais disparu.
Et rien que pour cela, Mare m'inspire du respect.
Ceux qui savent à quoi ressemblent les ténèbres sont prêts à tout pour rester dans la lumière.