Octobre 2015
La beauté du Péloponnèse, où mon voyage a commencé pour de bon, n'a pas apaisé ma douleur. Elle n'a même servi qu'à l'accroître. Je me suis senti tout petit devant sa richesse et sa luxuriance, tant la nature semblait éclatante de vie et de santé. (...)
Au cours des mois qui ont suivi, j'ai appris une leçon: parfois, plus on s'efforce d'oublier et plus on se souvient. (p. 27)