(...), le propre des encouplés est leur hantise d'être cocufiés. Plus on attend de l'autre qu'il soit fidèle, plus on s'imagine ses infidélités et l'on se représente le moindre ami un peu proche comme un cocufieur potentiel. L'insistance sur le devoir de fidélité se situe en réalité à l'opposé de la saine confiance, et le plaisir de posséder l'autre par encouplement provient de l'orgueil de posséder un bien que les autres n'ont pas.