Elle a 46 ans. Elle est pauvre, malade, veuve de son amour et orpheline du défi qui remplissait sa vie depuis deux décennies. Pour la seconde fois de son existence, elle doit repartir à zéro, recommencer sans enthousiasme, ni l’inconscience de sa jeunesse. Et elle n’a pas le courage. Elle s’est donnée six mois pour trouver ce qu’elle devait faire de sa vie. Mais certains matins elle a à peine le courage de se lever. Une fois de plus elle se trouve prisonnière, incapable de gagner de l’argent, humiliée, coincée par cette bourgeoisie qu’elle hait.