Je hais mon ventre, ce tronc plein de boyaux, qu'il me faut traîner partout, et aussi tout ce qui est en rapport avec lui - la mauvaise nourriture, les brûlures d'estomac, le fardeau de plomb de la constipation, ou encore l'indigestion avec une première livraison d'une chaude saleté dégoulinant de moi dans les toilettes publiques trois minutes avant un rendez-vous ponctuel. (p. 99)