Rappelons-nous que dans un système où prédominent les éléments-bêta, les « pensées » sont des « choses » ; j’ai également souligné que les éléments-bêta ne peuvent pas être utilisés en tant qu’éléments colonne 4 parce qu’ils sont déjà saturés […]. Nous voyons donc que le défaut de la non-chose consiste précisément en ceci que l’objet « absent » ou « inexistant » occupe l’espace qui devrait être laissé vacant.