Qu’on m’apporte mon arc d’or brûlant
Qu’on m’apporte mes flèches de désir
Qu’on m’apporte ma lance : ô nuages, ouvrez-vous !/ Qu’on m’apporte mon char de feu.
Je ne ferai pas trêve au combat de l’esprit
Et mon épée ne dormira pas dans ma main
Tant que nous n’aurons point bâti Jérusalem
Sur la verte et riante terre d’Angleterre.