Et ce silence semblait distillé, parfaitement pur, un silence qui s’amplifiait de lui-même. Les murs écoutaient, la pièce retenait son souffle. Elle attendait. Dans cette absence de bruit, Winer avait l’impression d’être réceptif à tout un univers d’expériences, chaque sensation multipliée par d’autres fondant sur lui comme s’il était calé sur la longueur d’onde d’un vaste flot d’informations le bombardant de tous côtés. (p. 272.)